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 | Avenue des Embrumes.  L'avenue menant directement à la ville de Jigen. Brumeuse, on ne peut distinguer ce qu'il nous attend, lors du premier passage vers le monde opposé. Les grands murs, étroitement écartés. Le sang sur les gouttières, encore frais. Pendant plus d'un kilomètre, la rue s'étend, droite, sillonnant à quelques endroits. Les fenêtres des bâtiments, couvertes de givre. Les portes en bois, gelées depuis des siècles. Personne n'ose s'attarder ici, dans la brèche, instable.
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| Le bois d'automne.  En s'enfonçant plus profondément dans le Night Jigen, on peut y trouver un bois où les arbres sont en fleurs, où l'on peut vivre un peu de prospérité. Un endroit paisible en apparence mais où peu de personnes ont le courage de s'engouffrer, la peur de ne jamais revenir toujours présente. Ces arbres aux feuilles de feu, brûlantes et brillantes. Contrée paradisiaque dans un fond de malheur et de sang.
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| Cascade de vapeur.  Quand on s'enfonce un peu plus dans le Night Jigen, on peut tomber dans le seul havre du paix de la dimension. Représenté par une cascade. C'est là bas où l'on peut aller pour se détendre si on a pas peur de s'y aventurer. Les rencontres ne se font rarement attendre, tout comme les surprises mortelles.
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| Le marécage mortel.  Dans les terres les plus obscures de la contrée se trouve un endroit des plus hostiles et nauséabond. Le marécage, piège mortel, crée par les afflux de mère nature. Quiconque ose s'y aventurer doit avoir conscience qu'il est loin d'en ressortir vivant.
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